Nous avons effectué un sondage sur 82 fumeurs ou anciens fumeurs, sur différents critères, notemment, pour ceux qui ont déjà essayé d'arreter de fumer, sur les moyens utilisés.
Dans le cadre de notre étude scientifique, nous présenterons brièvement les substituts nicotiniques et les médicaments avant de nous focaliser sur les nouveaux moyens: la cigarette électronique, et le vaccin contre la nicotine.
1) Les substituts nicotiniques
Quelle est la différence entre la nicotine des cigarettes et celle des substituts ?
Il s’agit toujours de la même nicotine, mais la pénétration de la nicotine dans l’organisme est différente. Dans le cas de la cigarette, la nicotine entre très rapidement par le système artériel pulmonaire avant d’arriver au cerveau en quelques secondes. Dans le cas des substituts nicotiniques, elle se diffuse très lentement par la voie veineuse en passant par la peau pour les patchs et par la muqueuse buccale pour les gommes à mâcher, les comprimés et l’inhalateur. Ce mode de pénétration différent n’a pas les mêmes conséquences. En particulier, les substituts nicotiniques entraînent peu ou pas de dépendance psychique.
L’autre grande différence est que les substituts permettent d’absorber seulement de la nicotine, alors que la fumée du tabac contient également quatre mille substances toxiques.
Les gommes à mâcher à la nicotine

Elles ont été les premiers substituts nicotiniques disponibles. En mâchant la gomme lentement en faisant des pauses, de la nicotine est libérée. La nicotine est absorbée au niveau de la muqueuse buccale puis arrive dans la circulation sanguine avant d’atteindre le cerveau. Elle est diffusée totalement au bout d’une demi-heure environ après l’alternance des deux temps mâchage/repos, et n’aura plus de goût.
Le sevrage se fait en deux étapes :
- - La première étape consiste à absorber une quantité de nicotine correspondant à la consommation quotidienne du fumeur. Cette nicotine est dite « propre » car la gomme ne délivre que de la nicotine et non les autres composants nocifs de la cigarette.
- - La seconde étape consiste à diminuer, petit à petit, la quantité de gomme quotidienne lorsque la dépendance au geste n’est plus présente chez le fumeur. Le fumeur arrête le traitement quand 1 à 2 gommes par jour lui suffisent. Les gommes peuvent entrainer des
brûlures d'estomac, de l'irritation de la bouche, et de la dépendance aux gommes.
Le patch, commercialisé depuis 1992 présente sur les formes orales plusieurs avantages et quelques inconvénients liés à son utilisation.
Le patch (un timbre de nicotine qui permet de réduire ou éviter les symptômes de sevrage, dont la prise de poids après l'arrêt du tabac (comme les autres substituts nicotiniques)), à condition d'être utilisé aux bonnes doses et pendant une durée suffisante. Ces doses peuvent être déterminées grâce au test de dépendance à la nicotine.
Le patch est un médicament efficace pour arrêter de fumer. Cette efficacité a été prouvée dans de nombreuses études scientifiques pour arrêter de fumer.
Le patch fournit de la nicotine plus lentement que la gomme et les comprimés, mais de façon plus constante et durable pendant la journée.
brûlures d'estomac, de l'irritation de la bouche, et de la dépendance aux gommes.
Le patch, commercialisé depuis 1992 présente sur les formes orales plusieurs avantages et quelques inconvénients liés à son utilisation.
Le patch (un timbre de nicotine qui permet de réduire ou éviter les symptômes de sevrage, dont la prise de poids après l'arrêt du tabac (comme les autres substituts nicotiniques)), à condition d'être utilisé aux bonnes doses et pendant une durée suffisante. Ces doses peuvent être déterminées grâce au test de dépendance à la nicotine.
Le patch est un médicament efficace pour arrêter de fumer. Cette efficacité a été prouvée dans de nombreuses études scientifiques pour arrêter de fumer.
Le patch fournit de la nicotine plus lentement que la gomme et les comprimés, mais de façon plus constante et durable pendant la journée.
Le patch a l'avantage de pouvoir se combiner à d'autres médicaments. Les patchs ne doivent pas être décollés (adhésion moindre lors de la ré-application), une activité sportive peut entraîner une transpiration qui risque de décoller. Le patch peut entraîner des picotements à l'application et un risque de rougeurs ou d'allergies chez certains sujets.
Efficacité des substituts nicotiniques
Efficacité des substituts nicotiniques
18 % des fumeurs ayant utilisé des substituts nicotiniques arrêtent de fumer définitivement. Il y a donc plus de 80% des utilisateurs qui recommencent à fumer, on ne peut donc pas parler le plus souvent de réelle efficacité.
2) Les médicaments
3) La cigarette électronique.
Le Zyban ou Bupropion :
Le Zyban a pour rôle d’inhiber la recapture de la dopamine au niveau des synapses du système nerveux central. Il est considéré comme un psychotrope de type antidépresseur. Son mode d’action est basé sur la régulation de la dopamine car comme nous l’avons vu les circuits du plaisir passent par la dopamine.
Le Zyban provoque des effets secondaires qui sont plus ou moins fréquents. Les plus fréquents sont des troubles digestifs. Il en découle nausées et vomissements, douleurs abdominales et constipation. Ensuite il y a aussi des troubles nerveux comme des insomnies, des maux de têtes et des angoisses. Sinon d’autres effets secondaires apparaissent comme des problèmes cutanés.
Fournit sous prescription, de nombreuses contres indications s’applique a lui. La première est en cas de grossesse ou d’allaitement puis si le patient est allergique a un des composant du Zyban. S’il y a une insuffisance hépatique grave, des troubles psychiatriques.
Champix ou Varenicline
Cette année 2011, les médicaments sont assujetti a polémique, Après que le Mediator soit soupçonné d’être un médicament dangereux, le Champix, représenterait lui-aussi un danger pour ceux qui le consommeraient.Voilà, aux Etats-Unis, 1.200 plaintes ont été déposées contre ce remède accusé d’entraîner des états suicidaires, voire des passages à l’acte.
Disponible depuis le février 2007.
Il fonctionne directement sur la sensation de manque. Il diminue le besoin impérieux de fumer en agissant avant le Zyban puisque la varenicline (C13H13N3 ) empêche la nicotine de se fixer sur ses récepteurs nicotiniques cérébraux en prenant sa place.
Le traitement est sous forme de comprimés, il commence par un comprimé de 0.5mg les trois premiers jours puis passe a deux comprimés les quatre jours suivant et cela pendant plusieurs mois. Après deux semaines on prend des comprimés de 1.0mg tous les jours.
Le traitement a de gros inconvénients car il provoque chez l’utilisateur d’importantes nausées, des maux de têtes et des troubles du sommeil. Durant le traitement le patient est suivit par un médecin. Et le traitement est tout de suite arrêté si la personne montre une humeur dépressive, des idées suicidaires et une modification comportemental.
Ils existent plusieurs contre indication au Champix :
Avant 18 ans ; Pendant la grossesse ; S’il y a une insuffisance rénale ;
3) La cigarette électronique.
Le phénomène révolutionnaire pour lutter contre la dépendance à la cigarette est la cigarette électronique.
Qu'est ce que la cigarette électronique ?
Il existe de nombreuses marques ayant lancé sur le marché une cigarette électronique, répertoriées sur le site http://www.ecigarette-france.com/.
Nous nous sommes procuré une cigarette électronique de la marque EdSylver®, dite la plus fiable du marché, mais la plus chère cependant puisque ses prix varient de 80 à 140 euros. Notre étude se portera donc sur cette cigarette, mais toutes les cigarettes électroniques ont le même fonctionnement, à quelques détails près.
Un pack complet acheté en pharmacie contient :
1 Cigarette Electronique EdSylver
· 1 batterie à bout rouge
· 1 batterie à bout bleu
· 1 chargeur 110~240V
· 1 adaptateur USB
· 5 recharges de remplacement gout tabac blond (2 normales, 2 light, 1 sans nicotine)
· 1 Etui de transport
· 1 Notice d'utilisation en Français
· D’éventuels recharges aromatisées (pomme, menthe, vanille, etc..)
L’appareil à la forme et la couleur d’une cigarette, de 9cm de long. Il est constitué d’une structure principale en métal inoxydable, d’une batterie en lithium, d’un circuit électronique et d’une chambre de pulvérisation.
La cartouche de vaporisation est composée d’un inhalateur et d’un réservoir. Ce dernier est rempli d’un liquide prêt à être vaporisé, contenant de la nicotine. Il ne contient aucune substance telle que le goudron ou autre produit cancérigène. L’inhalateur et le réservoir sont amovibles.
Une cartouche a une durée de vie de 150 inhalations, ce qui équivaut à la moitié d’un paquet ordinaire de cigarette. Les dosages de nicotine sont classés selon le critère suivant :
- High : 16 mg
- Med : 10 mg
- Low : 6 mg
- No : 0 mg
Rappel : Une cigarette traditionnelle une contient entre 10 et 25mg de nicotine
De plus, chaque cartouche contient des huiles essenielles et exhausteur de goût à 21%, du Lialol à 1.9%, de l’Ethanol à 5% ; de l’arome tabad blond à 1.3% et de la glyérine végétale à 69.2%.
La cigarette électronique emploie une batterie au lithium de 3.6V et un chargeur spécial, qui ne peut être remplacé par aucun autre chargeur.
Lorsque le fumeur inhale une bouffée de fumée, la lampe-témoin s’allume pour faire comme sur une cigarette ordinaire.
Quels sont les avantages de cette cigarette électronique par rapport à une cigarette classique ?
- La santé.
En effet, la cigarette électronique, ce sont les sensations d’une cigarette normale, la nicotine, la fumée, et bien sur le geste, mais sans substances cancérigènes, sans goudron, sans aucune des 4000 substances nocives présentent comme l’ammoniac ou le monoxyde de carbone. Il s’agit là donc de protéger sa santé à long terme sans pour autant se priver des plaisirs de la cigarette.
- Le plaisir
De plus, selon certains témoignages, l’absence de certaines substances rend la cigarette plus agréable en supprimant les effets secondaire comme bouche pâteuse, maux de tête, toux… Et même si le goût est légèrement différent, il semble que l’utilisateur s’adapte vite et y prend même goût. Il est aussi possible de choisir des saveurs variées pour les recharges, comme vanille, pomme, menthe, fraise…
- L’absence du fumée
Lorsque l’utilisateur utilise sa cigarette électronique, ce n’est pas de la fumée qu’il recrache mais de la vapeur d’eau. Il y a donc un double avantage : premièrement le fumeur n’a plus l’odeur de cigarette : il n’a ni l’haleine, ni l’odeur dans son appartement. De plus, cette cigarette supprime le tabagisme passif puisqu’elle ne libère pas de fumée. Il est donc possible de fumer sans nuire à son entourage, à sa famille et à ses proches.
- La possibilité de fumer partout.
Cela semble être un critère de choix pour les utilisateurs. En effet, depuis 2006, il est interdit de fumer dans les lieux publics. Or, la cigarette électronique est autorisée dans les bars, les bureaux, les magasins, certains restaurants, etc..
- L’argent :
La cigarette électronique est chère, mais c’est un investissement car les recharges de cartouches coutent de 8 à 10 euro les 5 (soit équivalent à 5 paquets) alors qu’un paquet de cigarettes classiques coutent aux environs de 5 euros. Or d'apres notre sondage, 79% des sondés annoncent que la dépense d'argent est un des principaux inconvénients de la cigarette, et une des raisons de leur désir d'arret.
- L’environnement :
Les cigarettes électroniques sont réutilisables et il n’est donc plus nécessaire de les jeter. Or une grande partie des cigarettes classiques sont jetées par terre dans la rue ou dans la nature et par conséquent, polluent. De plus, il n’y a plus les risques d’incendie, puisque la cigarette fonctionne électriquement.
Quels sont les inconvénients ?
- Danger pour la santé ?
Les avis sont partagés. Comme toutes les nouveautés, certains croient au produit miracle, alors que d’autres restent sur leur gardes et se montrent plus réticents.
De quoi faut-il se méfier ? D’un des produits que contient la cigarette électronique : le propylène glycol.
Le propylène glycol ou propane-1,2-diol appelé aussi 1,2-dihydroxypropane, methyl glycol est un alcool utilisé principalement comme additif alimentaire considéré comme généralement non toxique (E1520)9. Il est utilisé car son évaporation à basse température (+/-60 degrés) permet de produire une fausse fumée (aérosol) non toxique.
Or l'Agence Française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) dénonce le pouvoir irritant de ce produit, qui pourrait entrainer des effets neurologiques comparable à celui d’ébriété.
Le Docteur Daniel Garelik, tabacologue à l’hôpital Georges Pompidou parle aussi de troubles hématologiques (en rapport avec le sang) et métaboliques. (http://www.youtube.com/watch?v=QbLoFEWwCDE&feature=related)
- Peu d’efficacité ?
Du fait de l'absence de combustion, la cigarette électronique est présentée de manière implicite et/ou explicite par ses fabricants comme une alternative saine à la consommation de cigarettes, postulat qui n'a jamais été démontré (il n'existe par exemple aucune étude sur la toxicité à long terme du PEG lorsqu'inhalé par voie pulmonaire). L’efficacité éventuelle de ce type d'appareil pour le sevrage tabagique n'a pas non plus été démontrée.
Cependant, beaucoup des utilisateurs ont l’air de trouver cette cigarette très efficace, comme le montre ces témoignages :
Nous avons néanmoins rencontré trois personnes qui affirment n’avoir vu aucune utilité dans la cigarette électronique, et l’avoir par conséquent arrêter au bout de quelques semaines, puisque ne leur a pas permis de se libérer d’une quelconque dépendance.
Analysons donc l’efficacité de la cigarette électronique sur les différentes dépendances :
- La dépendance physique : La nicotine, produit responsable de la dépendance physique, est toujours présente. Cependant, chaque cigarette est livrée avec des cartouches de différents dosages, et le principe est d’essayer de diminuer au maximum la dose de nicotine utilisée. Il s’agit donc d’arrêt par diminution progressivement. Or, d’après notre sondage, 72% des personnes déclarent qu’il est plus simple de s’arrêter de fumer d’un coup plutôt que de diminuer. La cigarette électronique n’est donc a priori pas un moyen efficace pour arreter de fumer.
- La dépendance psychologique et celle comportementale sont, elles, toujours présentes, car le fumeur ne quitte pas ses habitudes ni son geste.
La cigarette électronique ne permet donc pas, a priori, d’arrêter de fumer. Cette méthode alternative est donc plutôt pour les fumeurs souhaitant continuer de fumer sans les risques que cela implique pour la santé. Est-ce donc vraiment une bonne chose ? En effet, d’après le docteur Bertrand Dautzenberg, pneumologue à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, la nicotine très additive contenue dans ces cigarettes pourrait entrainer une hausse des fumeurs au lieu d’une baisse, puisque les consommateurs pourraient être charmés par l’idée de fumer sans s’abimer la santé.
Il va même jusqu’à dire que l’ignorance des laboratoires sur l’efficacité et le risque de hausse du taux de fumeurs devrait faire annuler la vente du produit en France.
Pour l’interview du professeur : http://www.youtube.com/watch?v=DG71n4mqJCQ&feature=related
Le sondage
Un sondage a été effectué à 211 fumeurs. La question posée était : quelle est votre consommation de tabac depuis l'utilisation de la cigarette électronique ?
Les réponses ont été classé dans plusieurs catégories :
La 1ère : Je n'ai pas (ou peu) diminué ma consommation.
La 2ème : J'ai diminué ma consommation de moitié (ou condidérablement).
La 3ème : J'ai totalement arrêté depuis moins de 15 jours.
La 4ème :J'ai totalement arrêté depuis moins d'un mois.
La 5ème : J'ai totalement arrêté depuis moins de 3 mois.
La 6ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 3 mois.
La 7ème : J'avais totalement arrêté mais j'ai repris le tabac.
La 8ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 6 mois.
La 9ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 9 mois.
La 10ème : J'ai totalement arrêté depuis plus d'un an.
La 11ème : J'ai totalement arrêté depuis plus d'un an et demi.
La 12ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 2 ans.
La 13ème : J'ai arrêté depuis plus de 2 ans, mais je fume toujours la cigarette électronique et il faut que j'arrête.
Un sondage a été effectué à 211 fumeurs. La question posée était : quelle est votre consommation de tabac depuis l'utilisation de la cigarette électronique ?
Les réponses ont été classé dans plusieurs catégories :
La 1ère : Je n'ai pas (ou peu) diminué ma consommation.
La 2ème : J'ai diminué ma consommation de moitié (ou condidérablement).
La 3ème : J'ai totalement arrêté depuis moins de 15 jours.
La 4ème :J'ai totalement arrêté depuis moins d'un mois.
La 5ème : J'ai totalement arrêté depuis moins de 3 mois.
La 6ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 3 mois.
La 7ème : J'avais totalement arrêté mais j'ai repris le tabac.
La 8ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 6 mois.
La 9ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 9 mois.
La 10ème : J'ai totalement arrêté depuis plus d'un an.
La 11ème : J'ai totalement arrêté depuis plus d'un an et demi.
La 12ème : J'ai totalement arrêté depuis plus de 2 ans.
La 13ème : J'ai arrêté depuis plus de 2 ans, mais je fume toujours la cigarette électronique et il faut que j'arrête.
Conclusion :
Etant une invention récente, il n'est pas possible d'avancer des résultats sur son efficacité. Mais apres une étude de cette cigarette électronique, de ses constituants, et à l’aide d’avis d’utilisateurs et de spécialistes, nous arrivons à la conclusion que cette méthode n’a pas prouvé son efficacité dans le cadre d’un arrêt définitif dans la cigarette.
4) Vaccin anti-nicotine
Une équipe de chercheurs suisse, du professeur Jacques Cornuz du Centre hospitalier universitaire vaudois de Lausanne, s’est lancée à la recherche d’un vaccin anti-nicotine pour empêcher la dépendance des fumeurs à la nicotine.
En quoi consiste le vaccin anti-nicotinique ?
Le vaccin consiste à introduire de la nicotine combiné à une fraction inactive de virus dans le corps. Bien qu'inactif, l'assemblage ainsi formé est identifié comme un intrus dangereux, et le système immunitaire produit alors des anticorps anti nicotiniques. On obtient donc le complexe : Nicotine-Protéine + Anticorps. L’adjuvant utilisé pour le vaccin est l’aluminium.
Ce sont ces même anticorps qui bloquent la nicotine, qui ne peut plus atteindre le cerveau, donc le mécanisme de l’addiction à la nicotine n’est plus entretenu.
Il faut renouveler les injections régulièrement car la durée de vie des anticorps est courte.
L'expérience sur des fumeurs
Les chercheurs ont essayé ce vaccin sur 300 gros fumeurs, qui n’avaient reçu aucun substitut nicotinique depuis plus de 6 mois. Ils leurs ont injecté 5 vaccins par mois pendant 4 mois. Les fumeurs n’ont pas produit d’anticorps dans les mêmes proportions.
Observation :
Plus de la moitié de ceux qui ont produit le plus d’anticorps parmi ces fumeurs n’ont pas repris de cigarette six mois après le dernier vaccin. Et ceux qui ont repris la cigarette avaient désormais une consommation très faible de cigarettes.
Le vaccin peut avoir des effets secondaires tels que des symptômes de grippe.
Les études sur le vaccin sont toujours en cours.
Le vaccin peut avoir des effets secondaires tels que des symptômes de grippe.
Les études sur le vaccin sont toujours en cours.